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Cet article donne quelques conseils de santé. Il et ne substitue aucunement à un traitement médical ou une visite chez le médecin quand c’est nécessaire.

note : cet article a été rédigée avant la mise au point des vaccins contre le Covid-19. Quand il a été rédigé, il n’y avait rien pour se protéger contre ce virus excepté les gestes barrières. En aucun cas, il prétend donner une méthode pour remplacer une quelconque vaccination mais propose quelques comportements pour renforcer son système immunitaire.

Alors que les gestes barrières et les conditions sanitaires sont régulièrement rappelés par les autorités dans les médias, il y a peu d’indications pour renforcer son système immunitaire. A croire que cela n’est pas nécessaire.

Pourtant, une réponse immunitaire adaptée atténue les effets du virus. Les asymptomatiques de la Covid-19 montrent que le corps humain est capable de développer les anticorps pour stopper l’infection. Si cette réponse est insuffisante, le virus va poursuivre sa multiplication. Cette immunité se décline avec l’âge. Notre immunité ne se refait pas du jour au lendemain et il faut peut-être changer son mode de vie et son hygiène de vie pour retrouver sa vitalité face à la maladie. Voici quelques idées simples et naturelles pour développer son système de défense qui ne se borne pas à un seul facteur.

Etre en bonne santé :

Avant de parler santé, il convient de mieux définir la santé.

La définition selon l’OMS :

« Un état de complet bien-être physique, mental et social, qui ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité »

La santé prise dans sa globalité correspond à un état de bien-être général qui n’est pas seulement physique. Etre en bonne santé implique un système immunitaire qui saura répondre au mieux et de façon adaptée aux agressions extérieures du corps. Le système immunitaire est en bonne santé, si le corps lui-même dans sa globalité l’est aussi. Alors passons en revue ce que l’on peut faire pour améliorer notre système de défense avec des méthodes les plus naturelles possibles.

L’alimentation :

“Que ton alimentation soit ta meilleure médecine” citation communément attribuée à Hyppocrate mais contredite par les historiens. Toutefois, le père de la médecine occidentale accordait une place importante à l’alimentation dans la santé.

La littérature sur internet ne manque pas d’articles pour proposer une liste d’aliments susceptibles d’améliorer notre système immunitaire. L’apport en vitamines est essentiel. Inutile de faire un copier/coller de ce qui est déjà expliqué et dont les mécanismes sont complexes à comprendre. Comme dans toutes les recommandations, une alimentation équilibrée ne peut être que bénéfique pour la santé même si des aliments sont mieux adaptés que d’autres. La qualité alimentaire si difficile à définir ne suffit pas, une alimentation simple, naturelle et de nature bio sont à privilégier. Une alimentation faite de produits transformés composés de tous les ingrédients chimiques industriels ne sont sans doute pas des produits santés recommandés.

L’alimentation crue et vivante est privilégiée par certains naturopathes. C’est majoritairement la consommation de fruits et légumes crus qui sont pris à chaque repas. Partant du principe que le système digestif humain est plus proche d’un frugivore qu’un carnivore, la place à une alimentation vivante permet d’apporter les nutriments nécessaires dont le corps a besoin et en particulier pour son système immunitaire. Ce qui ne veut pas dire que s’imposer un régime végétalien ou crudivore est inéluctable. Une alimentation crue et vivante apporte les vitamines suffisantes mais peuvent être complétées par d’autres aliments dont la consommation est plus modérée. Cependant, une telle alimentation ne convient pas à tout le monde. Que l’on soit hygiéniste, végétarien ou omnivore, chacun y verra des différences dans l’assiette. La variété de fruits et légumes de saison et locaux apportent les vitamines, les micro nutriments, les oligoéléments pour renforcer le système immunitaire mais ce n’est pas les seules sources.

Notre mode de vie accélérée ne donne pas le temps de s’occuper de soi, et l’on va consommer de plus en plus mal et rapide. La maladie s’installe progressivement et de façon chronique. Ainsi sont apparues des maladies des temps modernes des pays occidentaux qui sont la résultante d’une alimentation déséquilibrée et industrielle.

Mais l’alimentation n’est pas le seul facteur suffisant pour renforcer son système immunitaire bien qu’elle soit essentielle.

Le microbiote intestinal, un ami qui nous veut du bien :

Les recherches récentes montrent l’importance de notre microbiote, notre flore intestinale sur la santé et notre défense immunitaire. Pour comprendre mieux, le fonctionnement et le rôle de notre microbiote, cet article de l’INSERM donne un éclairage sur son rôle dans notre santé. La science moderne montre l’impact du déséquilibre de notre microbiote dans certaines pathologies et en particulier les maladies auto immunes et inflammatoires. Des micro-organismes composés de bactéries, virus et de parasites non pathogènes logés dans nos intestins sont plus nombreux que nos cellules.

Pour entretenir le microbiote, il existe les prébiotiques et les probiotiques.

Les prébiotiques qui sont des fibres alimentaires fournis par les bons aliments participent à la bonne santé du microbiote en nourrissant les micro-organismes qui le composent. C’est dans une alimentation équilibrée que l’on trouvera les prébiotiques nécessaires à la bonne santé du microbiote.

Les probiotiques contiennent des bactéries qui arrivent vivant dans notre intestin. On trouve les meilleures bactéries dans la fermentation des légumes. Une des techniques utilisées pour produire ces fameuses bactéries est la lacto fermentation. C’est une technique simple à faire chez soi et qui demande peu d’ingrédients : les légumes, de l’eau et du sel. Aucune cuisine à faire, il suffit d’un peu de temps et de patience pour faire ses bocaux. Il est légitime de se demander pourquoi des recettes si simples comme celle-ci ou à l’instar des graines germées si bénéfiques pour la santé soient autant méconnues.

Certain diront qu’il vaut mieux nettoyer le colon avant de faire le plein de probiotiques. D’autres affirmeront le contraire car les matières fécales finiront par se détacher et partir. Faut-il nettoyer sa maison ou attendre que le temps élimine les déchets. Encore faut-il choisir une méthode qui n’agresse pas la muqueuse du colon. Le choix d’un laxatif naturel comme le psyllium blond ou une méthode ancienne de yoga comme Shankaprakshalana est à privilégier selon l’expérience car ces méthodes ne sont pas sans danger si elles sont mal appliquées. Il faut les pratiquer en connaissance de cause. Chacun choisit selon ses convictions et son instinct et en fera sa propre expérience.

Simple à faire, la lactofermentation :

Quand on fait le choix d’une alimentation vivante et de vitalité, il sera difficile de se passer de la lactofermentation. Les légumes lactofermentés sont riches en probiotiques car il contient les bactéries suffisantes pour améliorer le microbiote, notre flore intestinale. Un aliment connu pour ses propriétés intéressantes comme aliment probiotique est la choucroute crue. On la trouve lactofermentée en magasin bio. Mais la technique de lactofermentation fonctionne bien avec la plupart des légumes.

On n’oubliera pas dans sa liste de fermentation possible, le kéfir qui est une boisson probiotique ainsi que le Kombucha. C’est une technique différente mais toujours aussi simple à préparer.

S’exposer au froid :

Quand l’hiver arrive, les canalisations sont froides. C’est l’occasion d’apprécier l’eau bien froide qui jaillit de la douche. La fenêtre ouverte quand c’est possible, au petit matin, c’est le moment de réveil corporel pour améliorer la circulation sanguine qui s’active et de respirer plus profondément. La sensation désagréable de l’eau qui entre en contact avec la peau s’atténue. L’intention facilite le franchissement de cette étape. Les douches froides, bien glacées sont bénéfiques pour les différentes fonctions de l’organisme dont le système immunitaire qui est stimulé.

Si prendre une douche glacée est facile à écrire, elle n’est pas si simple à prendre. Pour dépasser ses peurs, il faut tenter l’expérience et de se rendre compte que nos angoisses sont conditionnées. Celle notamment de croire que l’on va tomber malade en s’exposant au froid. Chacun connait sa santé et est capable de franchir ce pas à la condition que le mental l’accepte. Ces pratiques sont progressives et ne doivent pas être brutales tout en restant à l’écoute de son corps. Il est ensuite indispensable de maintenir son corps au chaud pour ne pas léser son énergie vitale et inné. L’alimentation adaptée doit accompagner ces exercices. Il n’est donc pas question de faire un jeûne quand on s’expose pendant plusieurs jours au froid.

Un bain froid a des températures proches de zéro n’est pas à la portée de tout le monde. On peut voir des habitués se promener en maillot de bain par des températures négatives avant d’aller nager dans l’eau glacée. Ces personnes s’entrainent depuis des années. Il ne s’agit pas de les imiter sans préparation car la réaction du corps qui sent une agression extérieure risque d’être brutale.

Que l’on pratique la respiration Win Hof ou le toumo, la thermorégulation entre en jeu pour permettre au corps de protéger les organes vitaux dans le froid. Ce processus sera plus rapide à se mettre en fonction quand le corps est entrainé.

Une pratique en immersion dans le froid hivernal en petite tenue renforce le système immunitaire. Après une première expérience accompagnée avec une personne expérimentée, on se rend compte que toutes les peurs sur les effets du froid sur la santé ne sont pas fondées. Le corps est capable de s’adapter à des températures négatives, dans le vent, sous la pluie ou dans l’eau glaciale pendant une durée limitée. Bien sûr, cela nécessite une préparation, mais selon les moines tibétains qui vivent dans les hauteurs de l’Himalaya, cette faculté de résister au froid est un don inné offert à tous.

Win Hof encore appelé Ice Man a montré à la suite d’expériences scientifiques qu’il était capable de contrôler son système immunitaire par la respiration. Maurice Daubard a animé pendant des décennies des stages de toumo jusqu’à 90 ans sans jamais tomber malade. Il est capable de contrôler sa circulation sanguine par le mental. Christophe Corne, nageur de la région de Pontarlier traverse depuis une vingtaine d’année, le lac de Malbuisson pour collecter des fonds destiné à des enfants malades. Il enchaine les défis sportifs comme s’il ne semblait pas vieillir.

La respiration :

On ne peut pas dire que la pollution de l’air favorise la santé. De nombreuses recherches montrent le lien entre la pollution de l’air et des pathologies cardiovasculaires et respiratoires. La ville avec des échanges gazeux dans l’atmosphère chargés de particules fines n’est pas le meilleur endroit pour les entrainements de jogging surtout aux heures de pointe. Toutefois, c’est mieux que de rester chez soi en restant sédentaire selon les scientifiques. Courir en dehors des villes, dans la campagne ou la forêt est bien sûr à préférer.

La qualité de l’air est primordiale dans les poumons non seulement pour la prévention contre certaines maladies et la mortalité, mais aussi dans la pratique d’exercices physiques dans les villes.

Dans la vie moderne, on a tendance à oublier la qualité de la respiration. Les pratiquants de yoga ou de qi gong connaissent ces techniques de respiration comme source d’énergie. Respirer par le bout du nez sans faire bouger le diaphragme ne garantit pas une bonne immunité. Les échanges gazeux sont trop limités et donc l’énergie défensive en sera autant altérée. Des exercices de contrôle de la respiration pratiqués quotidiennement de façon consciente participent à notre santé globale.

La vitamine D :

S’il y a une vitamine où l’alimentation ne suffit pas pour apporter la quantité suffisante à notre système immunitaire est la vitamine D. On constate dans les hôpitaux une carence de cette vitamine pour les cas graves de la Covid-19. Cette vitamine est produite par l’organisme en quantité suffisante par une exposition régulière au soleil. La carence de cette vitamine est fréquente en hiver dans les pays occidentaux où l’on a l’habitude de s’habiller chaudement lorsque le soleil apparait plus rarement. Quand les températures baissent, s’exposer au soleil aura un double effet par une exposition au froid et l’effet du soleil. Si on ajoute une respiration bien contrôlée alors notre système immunitaire ne pourra que nous remercier.

Hélas, les recommandations sanitaires véhiculées par les médias ne vont pas dans ce sens où une chute des températures est une alerte pour se couvrir chaudement. Bien sûr, tout le monde ne peut pas supporter la fraicheur et ont la peau trop sensibles pour des bains de soleil. Mais tout commence dans la modération et l’intention et par l’écoute de son corps.

L’équilibre émotionnel :

Une personne stressée, fatiguée est faible face aux maladies mêmes bénignes. Notre monde de la performance exige toujours plus de ses sujets qui se battent dans une course sans fin à la productivité. Dans cette spirale de l’individualisme, il n’y a pas de place pour l’empathie et cette société qui sacrifie le bonheur crée de plus en plus de malades.

Le repos permet de retrouver un équilibre émotionnel. Le repos est nécessaire pour que les émotions destructrices pour la santé s’en aillent. Le sommeil est essentiel mais n’est pas suffisant. Un excès de travail, des entrainements intensifs, la course en overdose puisent l’énergie originelle transmise par les parents selon la médecine traditionnelle chinoise. Le repos est nécessaire pour ralentir la cadence imposée par un mode de vie accélé parce que les rythmes biologiques ne suivent plus. L’immunité s’affaiblit car notre machine corporelle est désordonnée.

Le sommeil est indispensable à la vie. Le manque de sommeil par une activité trop intense, le stress … ne permet pas au corps de se reposer et de se régénérer. La qualité du sommeil dépend d’un équilibre de vie ponctué par une activité régulière. Dégradée, le manque de sommeil conduit à une perte d’immunité et à une exposition désarmée face aux maladies infectieuse

La méditation et l’immunité :

La méditation a un effet bénéfique sur la santé. La science le démontre depuis le début de notre siècle. On l’utilise dans la réduction du stress ou pour traiter la dépression selon un protocole bien établi dans un cadre médical. Méditer au quotidien calme l’esprit. C’est un régulateur des émotions. Elle limite les effets destructeurs des émotions négatives qui perturbent notre quotidien et épuisent notre énergie vitale. Les personnes stressées sont davantage vulnérables aux maladies infectieuses. Il a été montré scientifiquement au début des années 2000, l’impact d’une méditation régulière sur la production plus importante des anticorps contre des agents pathogènes. Jon Kabat-Zinn pionner de la méditation de pleine conscience a constaté les effets positifs durables sur le système immunitaire.

Sans oublier la sexualité :

La sexualité sans être excessive participe au développement du système immunitaire. Les rapports sexuels abaissent le niveau de stress et apportent un meilleur équilibre émotionnel. Mais dans l’excès, ils épuisent l’énergie innée héritée de nos parents et affaiblissent l’immunité.

Du côté chinois et des médecines traditionnelles :

La respiration est le carburant à l’origine de l’énergie défensive appelé le Wei Qi selon la médecine traditionnelle chinoise. Cela implique également une bonne santé du Rein en lien énergétique avec le Poumon. L’énergie défensive participe à notre immunité en nous protégeant des agressions climatiques extérieures. On trouve ces modes de protection dans les techniques orientales de la respiration.

La saison d’automne correspond à l’élément Métal et implique le Poumon et le Gros Intestin qui abrite le microbiote. Ce n’est pas par hasard si en cette saison notre système de défense doit davantage nous protéger contre la Covid-19 qui selon les spécialistes s’est plus répandue durant la seconde vague plus importante que la première.

L’étirement des méridiens des organes du Métal permet de mieux faire circuler l’énergie. Des petites frappes sur le sternum stimule le thymus, glande qui produit les cellules immunitaires. Cette glande est située entre le sternum et le coeur. Il est possible de compléter par des automassages et en particuliers stimuler les points d’énergie ou d’acupuncture en rapport avec le Poumon et le Gros Intestin.

La pratique régulière du Qi Gong, du yoga va favoriser la circulation de l’énergie et donc contribuer à une meilleure santé qui ne se limite pas à une absence de maladie mais à une élévation de sensation de bien-être. Ces exercices peuvent se pratiquer seuls mais il est préférable au début d’être accompagné par une personne expérimentée. L’automassage, le DO IN complètent cette série d’exercices à faire régulièrement.

Le massage ou le shiatsu contribuent avec l’aide d’une autre personne aussi à une bonne circulation de l’énergie, du sang, de la lymphe et renforcent l’immunité.

Pour se maintenir en bonne santé, la Rate qui inclut aussi le pancréas transforme les aliments en énergie nourricière qui associée avec le Poumon produit l’énergie vitale. En médecine traditionnelle chinoise, l’humidité est une énergie perverse qui est nuisible à la Rate. Donc l’alimentation doit être chaude pour ne pas perdre de l’énergie et cuite pour faciliter la digestion et empêcher l’humidité d’être présente dans le bol alimentaire. C’est un résultat à l’opposé de l’alimentation vivante qui privilégie plutôt une consommation crue où les nutriments sont conservées. Cependant, la notion d’aliments froids et chauds dans la tradition chinoise n’est pas liée directement à la température des aliments. Il faut y voir dans l’alimentation, la notion de saveur qui est directement liée aux 5 éléments et donc influence la santé des organes. On peut manger cru un aliment chaud comme le piment qui est un aliment chaud, lié à l’élément Métal.

La chaleur détruit les nutriments et pour les préserver au mieux, la cuisson vapeur conserve au mieux les propriétés nutritionnelles des aliments. L’eau de cuisson ayant servi à la cuisson peut-être consommée car elles contient les nutriments qui ont résisté à la chaleur dans le bouillon ainsi obtenu. Dans la cuisine asiatique, la cuisson vapeur est très présente car elle préserve au mieux la qualité des aliments tout en évitant une cuisson trop grasse apportée par les huiles. Le choix du cuiseur vapeur est primordial pour limiter la température afin de préserver au mieux les aliments.

Des aliments chauds n’impliquent pas qu’ils sont cuits mais ce qu’il faut éviter est de manger froid et de boire glacée. Conserver les aliments à température ambiante évite qu’ils soient consommés trop froids mais impliquent de se ravitailler plus souvent. On a ainsi toujours à disposition des fruits et légumes frais. Les orientaux privilégient des thés chauds. Pourtant la mode en Asie est de boire dans les cafés très froid avec les verres remplis de glaçons. Mais ces endroits occidentalisés sont des lieux pour se détendre et n’ont pas vocation à proposer une consommation santé.

La médecine traditionnelle chinoise est utilisée en Chine pour soigner depuis des millénaires les patients. Si les médias chinois ont vanté l’efficacité de cette médecine pour traiter les patients malades de la Covid-19, il ne faut pas pour autant se réjouir qu’un traitement efficace a été trouvé. Mais ce qu’on peut dire est que cette médecine avec sa pharmacopée très riche en plantes possédant des propriétés puissantes permet de renforcer son immunité et indirectement de mieux se protéger. Mais notre esprit cartésien occidental ne retient pas pourtant pas cette médecine dont l’efficacité de guérison n’est pas prouvée.

L’activité physique :

Dans l’activité physique, il faut y voir un entrainement sportif ou un entretien corporel régulier. Il n’est point utile de s’entrainer pour une compétition mais simplement d’entretenir son corps par une pratique d’au moins trois séances par semaine. La marche rapide convient bien à raison de 30′ par jour ou l’équivalent avec au moins trois séances par semaine. Dans une pratique sportive, tous les muscles doivent pouvoir être mis en action pour accélérer la respiration et le rythme cardiaque.

L’activité physique renouvelle plus facilement les cellules immunitaires qui sont plus toniques que chez une personne sédentaire. Le travail du cœur dans l’effort combiné à la respiration active la circulation sanguine et le mouvement favorise la circulation de la lymphe, véhicule de cellules immunitaires.

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